Nouvelles du front, par JJW

D'abord, permettez-moi de vous
livrer quelques petits constats personnels à la suite des
résolutions prises à Addis-Abeba, notamment en ce qui concerne le
point précis du déploiement d'une force internationale africaine
entre le Rwanda et la
RDC en vue d'éradiquer les forces négatives:

 

1°) En quoi le Rwanda pourrait-il s'inquiéter
d'être menacé par les FDLR dès lors que ces dernières n'ont plus fait
d'incursion au Rwanda depuis au moins 2004?

 

2°) Peut-on interpréter cette résolution comme un
aveu d'échec de la
MONUSCO?

Dans l'affirmative, il faudrait lancer une vaste
campagne de mobilisation pour dire "MONUSCO BUITEN" (=
Dehors en flamand). A moins de modifier fondamentalement le mandat de
l’a MONUSCO pour lui assigner
 un
mandat  clair et similaire à celui de l'ONUC qui avait permis à
l'ONUC et à l'ANC de mettre fin aux rébellions armées, à pacifier le
pays et à le stabiliser. En effet, la Résolution
du Conseil de Sécurité 161 du 21 Février
1961 mettait, en effet,
sous tutelle de l’ONU  l'Armée Nationale Congolaise. Cette
Résolution qui était une première dans l'histoire des Nations
Unies,
 non seulement parce qu'elle fut à l'époque une
des premières fois que les Contingents de l'ONU recevait une
mission de contrainte armée
, mais surtout à cause de la
clause qui autorisait le Conseil de Sécurité à réorganiser
l'armée congolaise en assurant notamment le recrutement et la
formation des officiers
. Ce que la MONUSCO ne peut
pas faire actuellement. Comment peut-elle dès lors stabiliser un pays
tant qu’il  n'est complètement
pas pacifié ni ne dispose pas d'une armée normale?

 

Comme
l'a souligné la doctrine internationaliste à l'époque,
jamais l'ONU n'avait eu des pouvoirs aussi importants dans les
opérations de maintien de la paix. Cette Résolution avait permis 
aux contingents des Nations Unies de se substituer, devant
l'inexistence de l'Armée congolaise
, à l'Etat
congolais dans le rétablissement de l'intégrité territoriale par de
véritables affrontements armés au Katanga Sécessionniste
.

 

Alors,
ma grande question est: pourquoi ne pas reprendre une formule qui a
globalement prouvé son efficacité?

 

3°) Qui peut se permettre de prédire la réussite de
cette nouvelle force africaine dès lors que la MONUSCO, forte de 20 000
hommes, bien équipée et financée avec un budget annuel d'environ 1 milliard de
$ US s'est complètement embourbée dans la mare au diable congolaise? Où trouvera-t-on
réellement les moyens financiers et matériels ainsi que des hommes des troupes
devant composer cette nouvelle force dès lors que les bailleurs de fonds
Occidentaux sont plutôt préoccupés à mettre en place, au départ du Burkina
Faso, une force régionale de la
CADEAO censée contrer la menace AQMI au Mali et au Niger. Et
cela fait déjà plus de 3 mois que cette force ne voit pas encore le jour alors
que la menace et l'urgence sont actuellement plus au Sahel que dans
les Grands Lacs habitués, sans imploser, à ses "scènes de ménage"
ethniques?

 

Donc, ce n'est pas en trois ou quatre mois que cette force
va voir le jour et entre-temps, vers quelle direction évoluera la situation sur
le terrain?

Kagamé n'aura sans doute pas la patience d'attendre
longtemps la mise sur pied effective d'une force internationale devant lui
couper l'approvisionnement en ressources minières et "mannières"
(allusion à la manne) de la RDC.

 

De plus comment va se juxtaposer concrètement sur le terrain
(avec quel mandat précis) cette nouvelle force africaine aux côtés d'une
Monusco indolente, et des FARDC dégénérescentes, défaillantes et défaites?

 

Ainsi, dans sa stratégie de "talk and fight",
Kagame fera certainement intervenir, à un moment qui lui sera diplomatiquement
"favorable" ses troupes de la
RDF pour régler l'affaire. C'est son éternelle stratégie de feindre
de dialoguer
 lorsque les conditions lui sont défavorables
(comme maintenant où il est la cible d'un lever de boucliers diplomatiques à
son encontre). Mais une fois la tempête passée, il reprend son langage favori
des armes pour mettre la communauté internationale devant un fait accompli en
occupant unilatéralement la RDC,
avec l'accord tacite du régime de Kabila. Une façon pour les deux complices, de
transposer à leur manière cette disposition de la résolution de la CIRGL.

 

Joseph Kabila n’ignore certes pas cette stratégie de Kagamé,
lui qui a appris ses premiers faits d'armes aux côtés de James Kabarebe, comme
chauffeur en bottes de jardinier.

 

A l'opinion, permettez-moi de vous rappeler ce modus
operandi constant de Kagamé, appliqué lors de la fausse « rébellion »
de libération sous AFDL:

 

Fin octobre 1996, suite à la montée de la tension
exacerbée par des déclarations agressives et par des actions punitives
menées contre les tutsis établis au Zaïre, œuvre des groupements
paramilitaires hutus et d 'autodéfense populaire zaïrois, une série d’initiatives
politiques
vont pourtant sortir peu à peu la communauté internationale
de sa léthargie. Ce qui va lancer un vaste débat diplomatique pour amener
la communauté internationale à monter une opération militaro-humanitaire au
Kivu
. Celles-ci aboutissent finalement le 15 novembre
au vote de la résolution 1080 du Conseil de sécurité de l'ONU
autorisant la mise sur pied d’une force multinationale temporaire de
quelques douze mille hommes, sous commandement canadien, pour venir en aide aux
réfugiés dans l’Est du Zaïre.
Le jour même, l’AFDL
met en œuvre, de concert avec l'APR, l’armée rwandaise, un plan
en deux phases destiné à faire avorter cette intervention humanitaire
.

Dans un premier temps, l’APR soumet à des
bombardements intensifs l’immense camp de réfugiés de Mugunga dans l’intention
de faire fuir les ex-FAR et les milices interahamwe vers le nord
.
Ensuite, une fois ce premier objectif atteint, l’APR attaque le camp depuis
l’ouest de façon à ne laisser à la majorité des cinq cent mille réfugiés
d’autre issue que la route vers le Rwanda
.

Ce retour inattendu d’une grosse partie des réfugiés
brise le fragile consensus international autour de la force multinationale
obtenu quelques heures auparavant
. Dans les semaines et les mois qui
suivent, tandis que la «Communauté internationale » se déchire sur
l’opportunité d’une intervention qui n’aura finalement jamais lieu, les forces
de l’AFDL et de l’APR commandées
par le lieutenant-colonel James
KABAREBE pourchassent les réfugiés rwandais
à travers les forêts
zaïroises et commencent leur rallye militaire vers Kinshasa.

La deuxième illustration de ce modus opérandi est
l'opération Umoja Wetu, décidée unilatéralement entre Kagamé et Kabila (aidée
par le policier John NUMBI) après que le chef d'état-major général de l'époque,
le Lieutenant-Général Dieudonné KAYEMBE MBANDAKULU lui ait formellement
signifié son refus de trahir la
RDC
en acceptant d'inviter les troupes d'un pays
reconnu agresseur de la RDC,
venir à nouveau librement opérer sur le lieu de ses crimes et massacres entre
1996 et 2004. Cela lui valut son remplacement par l'actuel Chef EMG, Le lieutenant-Général
Didier ETUMBA.

 

Qu'on ne vienne pas raconter aux populations que nous étions
de "bonne foi". C'est ça la stratégie et l'éternel modus operandi
rwandais que nous vous livrons.

 

4°) Cette invitation d'une nouvelle force étrangère, ne
court-elle pas le risque de succomber au syndrome "Club Med
MONUC-MONUSCO" dans l'eldorado minier rentable congolais? Cela avec le
risque de voir cette nouvelle force s'employer davantage à troquer les armes
contre les minerais en lieu et place de surveiller les frontières pour empêcher
les infiltrations de part et d'autre? Conséquence: elles vont s'éterniser en
devenant même la source de l'instabilité alors qu'elles sont là pour y apporter
la solution. Ainsi, à chaque période de fin de leur mandat, elles vont
actionner les conflits pour justifier leur présence. J'ai récemment fait
connaissance des deux casques bleus sénégalais, devenus entre temps
millionnaires chez eux et multipropriétaires, qui m'ont raconté leur
tourisme en RDC.

 

5°) Autre crainte, cette force sera-t-elle majoritairement
constituée des troupes issues de l'Afrique Orientale? Tanzanie, Burundi,
Ouganda, Kenya? Des pays acquis aux thèses diplomatiques et géostratégiques de
Kagamé? Fungola miso bana Mboka!

 

5°) Quant au régime de Kabila, cette résolution
invitant une nouvelle force étrangère venir assurer l'intégrité de
nos frontières, ne consacre-t-elle pas l'échec de sa politique et sa défaite
militaire? Lui qui s'octroie le titre de "commandant suprême des FARDC"?

 

Sous d'autres cieux, cela aura valu des démissions en
cascade et des poursuites judiciaires pour haute trahison. Mais don't care!
Nous sommes bien en République Bananière du Congo. Pays de qui perd gagne et
des records de toutes les contre-performances mais où paradoxalement on peut se
faire taper sur le doigt pour n'avoir pas appelé ces soi-disant
"dignitaires" qui déshonorent le Congo: Excellence, Honorable, Très
respectable…

 

Ainsi, il n'y a qu'en RDC où l'on peut troquer ses bottes de
jardinier pour obtenir les étoiles dorées de général pour se faire
appeler "Che Guevara", "Commandant Suprême. Sun Zu, Sun Bi,
Napoléon, Clausewitz, général Leclerc… ", entendez-vous cela de là où
vous vous trouvez la manière dont le Congo de l'ex-kadogo
Kabila foule auxx pieds votre "art" sacré! Nom de Di…!

 

Revenant sur le front purement militaire,
marquée plutôt par une relative accalmie après les  bombardements
conjoints MONUC-FARDC et quelques incursions des insurgés du M23 et la reprise
de Rutshuru, qui n’est plus sécurisée par le policiers anciens CNDP, comme cela
a été le cas après le retrait des M23 mais bien par des hommes bien armés de ce
mouvement pro-rwandais. Même s’il faut signaler que le verrou tactique mis
en place autour de Goma par la
Monusco et les FARDC, a permis d’éloigner les M23 et alliés
de cette zone
devenue le symbole de la survie de la Monusco en RDC.

 

1.     
Le mémorandum classé « secret » remis par de soldats du
front à leur hiérarchie militaire, mémo lui demandant d'inviter le commandant suprême
des FARDC à organiser une causerie morale à bâtons rompus afin de faire
le point de la situation militaire. Cette demande émanant des troupes déployées
sur les différents terrains des opérations militaires au Nord-Kivu est une
initiative inédite invitant Mr. Kabila, selon nos sources, à éviter de tenir
une politique des deux poids deux mesures. En effet, ces soldats souhaitent
tout simplement voir agir envers eux, qui défendent la patrie sur le champ de
batille, de la même façon qu’il l’a fait le 6 juin dernier à la Cité de l’Union Africaine à
Kinshasa auprès d’un groupe de 126 officiers généraux, supérieurs et
subalternes triés sur le volet. Lesquels officiers ont été gratifiés
individuellement, selon certaines indiscrétions nous parvenues de Kinshasa, des
frais de motivation se comptant en milliers de dollars pour chacun dans le but
de calmer leurs unités respectives dans cette période échaudée de la recherche
de l’impérium populaire. Cela n’a pas contenté certains militaires qui se
sacrifient au front. Ils disent que si Matata a dès son entrée en fonction fait
le déplacement vers le front pour motiver les troupes, pourquoi pas son
chef ? Craignant que cette demande écrite de causerie morale avec Kabila
ne puisse être transmise à qui de droit (qui continue de croire que la
situation est « sous contrôle ») – Rétention
volontaire de l’information de la hiérarchie envers le chef oblige !-,
c’est ainsi qu’un vent favorable nous l’a faite parvenir afin de diffuser
publiquement cette information de sorte que les différents collaborateurs et
partisans de Kabila qui me lisent, puissent le lui transmettre par d’autres
circuits que les canaux de communication militaires ad hoc. Vraisemblablement,
la crise de confiance entre les troupes et leurs officiers au Nord Kivu ne
cesse de s’accentuer, avec le risque de s’acheminer vers un point de rupture
irréversible similaire à ce que le Zaïre a connu durant les années 1991 et
1993.

 

2.     
La 2ème nouvelle concerne la présence prolongée à Goma du chef
d’EMG des FARDC ETUMBA
et son Staff, dont le Généralissime affairiste
Gabriel AMISI dit Tango Four
. Les officiers subalternes avec qui nous nous
sommes entretenus ce lundi soir, soupçonnent leurs chefs de prolonger leur
séjour à Goma pour justifier des « frais de mission » souvent
très élevés lors des missions en temps de guerre. En effet, ce qui renforce
cette intime conviction de nos contacts locaux et des troupes est que depuis
qu’ils sont là,  aucune réunion, ni initiative militaire sérieuses
 ne sont actuellement envisagées par l’Etat-major général des FARDC, à
court et moyen termes, pour mener des opérations offensives de grande envergure
contre les forces ennemies. La seule opération menée depuis reste à
l’initiative de la Monusco,
en représailles aux attaques des rebelles contre les forces de l’ONU, causant
mort d’un casque bleu indien (2 morts selon nos sources !)

 

3.     
Concernant le nouveau commandant de la 8ème Région Militaire, le
général de brigade BAHUMA Abamba, nos sources nous disent qu’il est
occupé actuellement bon an mal an d’essayer de racoler les morceaux des unités
désarçonnées à la suite de la débandade d’un bataillon entier vers l’Ouganda.
Lequel vient  d’être rapatrié par
l’Ouganda, avec armes, en RDC, de peur qu’il ne devienne ses « FDLR »
locales. D’autant que nos derniers contacts avec des amis ougandais nous
signalent une situation sécuritaire aussi tendue en Ouganda. Un pays où
l’essentiel des postes stratégiques politiques, militaires et économiques est
assuré par la minorité hima-tutsie qui y impose sa loi. Il n’est pas exclu non
plus que dans les prochains mois, ce pays connaisse une intensification de la
violence déjà présente avec la
LRA. Alors, il ne fallait pas que les fugitifs FARDC ne
constituent l’étincelle pour raviver le feu de la violence qui couve à basse
intensité en Ouganda, nous disent nos contacts ougandais.

 

4.     
Nos sources nous livrent encore l’information selon laquelle les unités de
la force terrestre des FARDC ne sont plus actuellement en état moral et
militaire de se battre
convenablement du fait à la fois du manque de
conditionnement militaire et de la composition très hétéroclite des unités
tactiques de terrain : les « compagnies » qui continuent à
disposer en leur sein des éléments et commandants issus du CNDP, non déterminés
à combattre leurs frères du M23.

Par
ailleurs, nous étions également informés du début de déploiement  à
Goma des éléments formés par les Etats-Unis en Ituri pour combattre la LRA. Un mouvement de ces troupes qui semble s’estomper à la
suite des informations faisant état de recrutement des jeunes à
Berund
a
(à environ 200
kilomètres au nord de Bunia) par des groupes
armés non encore identifiés.

 

La dernière
nouvelle à vous livrer concerne l’information nous livrée par nos contacts
militaires  aéroportuaires, ceux de la DGM et du renseignement militaire à Goma sur
l’itinéraire de Kabila après son séjour à Addis Abeba. On nous confirme que
c’est à bord de l’avion du président Ougandais que Kabila a quitté
Addis-Abeba pour Kampala, où il a fait une brève escale pour  s’entretenir
discrètement pendant deux heures avec Museveni et une délégation du directoire
de M23
. Nos sources sont en train de vérifier l’information pour savoir si
Kagamé ou ses proches collaborateurs y étaient également. De Kampala, il a pris
son avion pour atterrir à Kindu où il est resté quatre heures avant de
regagner le même jour la capitale où il aurait trouvé un nouveau refuge,
au-delà de Kingakati vers le Bandundu, dans une des propriétés de Tryphon Kin
Kiey Mulumba, sa nouvelle coqueluche vuvuzélique, (Kindu ne disposant pas
d’habitations ni d’hôtels pouvant suffisamment assurer actuellement sa sécurité
au point d’y passer la nuit)!

La ferme de
Kingakati ne lui garantissant plus non plus assez de sécurité, du fait de sa
configuration atypique, facilement prenable et isolable en cas d’attaque
surprise. Donc, lentement mais sûrement, il s’éloigne de la Capitale toujours
frondeuse. Notons que nos contacts et experts aéronautiques sont catégoriques
sur l’itinéraire de retour de Kabila. Ils nous disent qu’il n’existe pas de
route aérienne directe entre Addis-Abeba et Kindu. Les quatre itinéraires
aériens les plus aisés possibles étant : Addis-Abeba-Kampala-Kindu,
Addis-Abeba-Naïrobi-Kindu, Addis-Abeba-Kigali-Kindu, ou enfin Addis-Abeba-Bujumbura-Kindu.

 

Pour conclure, les médias viennent d’annoncer, toujours dans
le cadre de la diversion politique qu’une  motion de défiance contre le
ministre de la Défense,
Alexandre Luba Ntambo
a été déposée en procédure d’urgence par le député de
l’opposition Albert Fabrice Puela le samedi dernier. La motion a été signée par
soixante députés proclamés par Mulunda. Pouvait-il en être autrement ?
Lorsque dans un pays fragile où la défense, priorité des priorités, est dirigée
par un ministre » PHARMACIEN » de profession, ne disposant d’aucun
antécédent professionnel avéré en rapport avec l’art de la guerre  alors
que l’on se vante d’un gouvernement d’experts ? Et l’on s’étonne par la
suite que les dirigeants de ce régime se réjouissent de la manière dont son
armée évolue de débâcle en débâcle par l’application du principe qui perd
gagne?

 

Enfin, pour ceux qui vivent en Belgique, une info de
dernière minute signale la présence des proches du régime. Il s’agit des agents
des services de renseignement extérieur très discrets et peu connus du grand
public mais qui serait en Belgique (Europe) pour (officiellement) raison des
vacances. Cependant, ils sont ici pour essayer d’acheter certaines consciences
dans les milieux des « combattants ». Certains sont déjà parvenus à
entrer en contact avec quelques uns pour les persuader à se rapprocher de leur
« raïs » qu’ils présentent comme un vrai patriote congolais. C’est
dans les cafés célèbres de Bruxelles et Province (Liège et Mons étant également
mentionnés) ou dans des boîtes de nuit tropicales de la Capitale qu’ils opèrent
de façon cloisonnée. « Le Club 144 » de l’Avenue Louise serait
également une cible pour approcher les jeunes filles congolaises pouvant faire
ce travail (à la manière des filles tutsies rwandaises) à leur place moyennant
des sommes d’argent colossales. BMW oblige !

 

Voilà chers congolais, j’ai assez analysé et rapporté des
nouvelles fraîches en provenance du Nord-Kivu, à vous de lire entre lignes en
attendant notre prochain bulletin !

 

Le messager des compatriotes FARDC laissés-pour-compte au
Nord Kivu,

 

JJW

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