19-08-19 Revue de la presse congolaise de ce lundi (CongoForum)



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Sommaire

La presse de Kinshasa commente, en ce lundi 19 août 2019, les derniers épisodes du feuilleton-fleuve « Formation du gouvernement », notamment . a clé de la répartition des postes au CACH dans ce gouvernement. Mais plusieurs autres sujets figurent ààt la Une des journaux , entre autres, l’audit du gouvernement sortant et le discours du chef de l’Etat au sommet de la SADC.

Gouvernement

Le Phare se concentre sur la révélation du Secrétaire général de l’Udps au sujet du partage des postes au gouvernement. En effet, au cours d’une matinée politique tenue samedi 17 août 2019 au siège de l’Udps, Augustin Kabuya a révélé qu’un compromis a finalement été trouvé au sein de la plateforme CACH concernant les 23 postes ministériels à pourvoir. La répartition a été faite de manière suivante : 15 pour l’Udps et 8 pour l’UNC. Ce travail de répartition s’est fait dans l’harmonie et la transparence totales, sans faire le moindre clash au sein de la plateforme.

La Prospérité rapporte que le Premier ministre Ilunga Ilunkamba finalise la liste des membres de son gouvernement cette semaine. Il espère, enfin, pouvoir présenter au Président de la République, en début de cette semaine, une mouture harmonisée avec chacune des deux plateformes.

Comptes à rendre

Forum des As paraît avec un titre menaçant « Ministres sortants : l’audit arrive ! »

«  Selon des sources dignes de foi, le numéro 2 de l’ANR requiert l’Inspecteur Général des Finances pour auditer tous les décaissements des fonds du Trésor public en faveur de tous les ministères depuis l’investiture de FATSHI jusqu’à ce jour.

Pour les ministres sortants, l’heure de la reddition des comptes-au propre comme au figuré- a sonné. Le crépuscule de leur séjour au Gouvernement va rimer avec un audit. Est-ce la fin de l’impunité ? Ca y ressemble fortement.

Où l’on parle d’une réquisition d’information couperet. Signée, rapporte-on, le 17 août par le numéro 2 de l’ANR Mbelu Biosha et motivée par « des raisons impérieuses de sécurité d’Etat », elle mobilise l’Inspecteur Général des Finances (IGF) sur trois volets en rapport avec la gestion des fonds publics. Et ce, depuis l’avènement effectif de Félix-Antoine Tshisekedi à la magistrature suprême jusqu’à ce jour.

Le premier, signale-t-on, consiste en un audit de tous les décaissements des fonds du Trésor public en faveur de tous les ministères. L’IGF aura aussi pouvoir de saisir tous les bons de retrait de fonds émis par les différents ministères. Cet exercice sera doublé de celui consistant à exiger de ces départements ministériels tous les dossiers initiés par eux pour sortir ces fonds. Pour boucler la boucle, l’IGF fera les rapports circonstanciés sur lesdits rapports.

Se confiant à Forum des As, un haut cadre de l’Inspection Générale des Finances(IGF), ayant eu vent de cette réquisition d’information, salue la démarche. D’abord parce qu’elle tend à réhabiliter l’IGF dans sa mission foncière de gardien de l’orthodoxie dans la gestion des finances publiques.

DE BON AUGURE POUR LA FIN DE L’IMPUNITE

Sans notamment l’utilisation maximale de l’IGF, la lutte contre le coulage des fonds publics et son succédané qu’est la corruption, cheval de bataille de l’actuel Président, viendrait enrichir le musée de slogans désincarnés. Et le fait que la réquisition d’information soit circonscrite à la période FATSHI apparait comme un signal fort sur le front de la bonne gouvernance.

Survenant à la lisière du premier Gouvernement de la troisième législature de la troisième République, cette démarche devrait sonner comme un avertissement sans frais aux futurs ministres et plus généralement, aux mandataires de l’Etat. Avant même leur entrée en fonction, ils sauront à quoi s’en tenir.

Au regard du désastre causé par l’impunité, on ne peut que se féliciter de ce que l’ANR -service d’intelligence – soit en première ligne dans la lutte contre la dilapidation des fonds publics. La semaine dernière, la Centrale de renseignements a longtemps interrogé le ministre de de la Solidarité et Actions humanitaires au sujet des fonds alloués aux déplacés de Minembwe dans le Sud-Kivu. Plus de 500.000 USD détournés ! L’affaire est encore pendante.

Voilà que dans une approche holistique, c’est au tour de l’IGF d’être impliquée dans la dynamique de la bonne gouvernance. De bon augure. Pour vu que cette démarche cesse d’être une opération ponctuelle pour s’inscrire dans l’ordre normal de la gestion de la respublica.

Le nécessaire début de la sagesse de tout gestionnaire des fonds publics est à ce prix. La lutte contre les  » anti valeurs  » que le chef de l’Etat Félix-Antoine Tshisekedi décrie matin, midi et soir ne saurait produire les effets que si tous les services de l’Etat ayant le contrôle des finances publiques dans leur ADN sont effectivement mis à contribution. De ce point de vue, la visite du nouveau Premier ministre…à l’IGF paraît résonner comme en écho à la volonté politique exprimée par le Président d’inaugurer une nouvelle ère de la gouvernance. Qui s’en plaindrait ? »

Le Potentiel titre « Détournement de fonds d’assistance des sinistrés de Minembwe : l’arbre qui cache la forêt »

« Des fonds d’assistance aux sinistrés de Minembwe (Sud-Kivu), pour lesquels l’on dénote une publicité à dessein de l’interpellation du ministre de la Solidarité et Assistance humanitaire, est, selon des analystes, un arbre qui cache un vaste champ d’intérêts politiques.

L’affaire du vol chez le comptable public principal affecté au ministère de la Solidarité nationale et des Affaires humanitaires cache encore des mystères qui devront sans doute se révéler avec l’aboutissement des enquêtes en cours. Entre-temps, certains analystes estiment que l’acharnement contre le ministre de la Solidarité nationale et des Affaires humanitaires traduit ni plus ni moins une volonté délibérée, mieux une cabale pour dissimuler la vérité.

Au-delà de la volonté d’ériger Minembwe en un territoire de la province du Sud-Kivu, il y a bien des choses qui se cachent derrière cette affaire. Bref, c’est un arbre qui cache la forêt des gros intérêts politiques.

Des investigations menées dans cette affaire d’assistance humanitaire d’urgence en faveur des populations de Minembwe (Sud-Kivu), victimes des attaques des groupes armés, il apparait clairement que les présumés coupables du détournement de l’enveloppe de 555 580 Usd est entouré d’une zone d’ombre. Bernard Biando parait juste comme une victime expiatoire pour faire digression.

La clé de l’énigme

Et pourtant les faits renseignent que le ministère d’Etat en charge de la Décentralisation et des Réformes institutionnelles et le ministère de la Solidarité nationale et des Affaires humanitaires cogèrent ces fonds, comme pour dire tout décaissement de fonds consécutivement aux besoins fournis par l’équipe sur le terrain, devrait requérir le consentement de ces deux ministères. Et à la disparition de fonds, l’on note qu’il a été décidé depuis le 27 juillet, d’envoyer un montant pour couvrir des frais sur place. Et deux jours après, le comptable ne s’exécutait toujours pas.

Visiblement complice avec le conseiller financier du ministre Biando, c’est cinq jours après cette mystérieuse disparition qu’ils viendront annoncer le vol au ministre de la Solidarité nationale et Affaires humanitaires. C’est de l’aveu du comptable et de son engagement à restituer l’argent disparu que le ministre a agi avec promptitude en déposant plainte au niveau de la direction des Renseignements généraux de la Police.

Et déjà à ce stade, les tirs orientés contre Biando le sont dans l’ignorance des principes. En effet, l’affectation d’un comptable dans un cabinet ministériel est liée aux prescrits du Règlement général de la comptabilité publique. Et ce dernier est le seul à gérer le bureau comptable portant son code. Et donc, même si le ministre reste l’ordonnateur des dépenses, il n’a pas la garde de fonds.

Quid donc de la correspondance du bâtonnier national Mbu Ne Letang, partagée sur les réseaux sociaux ? Ce document en dit long dans le flou qui entoure cette affaire. Pourvu qu’aucun scénario ne soit monté pour détourner l’attention de l’opinion dans la tendance de la vérité qui se dessine déjà.

Dans ce document, cet avocat de la Cour de cassation et Conseil d’Etat plaide pour que les dispositions légales de poursuite soient respectées concernant son neveu, fils de feu avocat général Ilako. Il s’agit là du conseiller financier du ministre. M. Ilako Teddy est aussi arrêté pour enquête et détenu par les services de sécurité plus de 48 heures.

A la requête du cabinet Mbu Ne Letang, il fût mis au cachot du Palais de Justice puis transféré au CPRK. Et curieux, ce dernier, selon cette correspondance, a été transféré dans le cachot de l’ANR. Des mouvements qui ne s’expliquent pas quand on connait les usages dans plusieurs affaires connues de la République sous le régime passé.

Dans tous les cas, le changement attendu par la population du chef de l’Etat Félix-Antoine Tshisekedi devra, notamment porter sur la justice et d’autres corollaires du pouvoir, à savoir les services de sécurité et la police. Une fois que les pratiques décriées hier, dans ces secteurs, se perpétuaient, l’espoir du changement tant applaudi et attendu va s’envoler. Le dénouement de cette affaire reste donc un test de crédibilité autant pour les services de sécurité où les enquêtes se poursuivent comme au niveau de la Justice où tout l’éclairage devra être fait et sans influence ».

Dans un article consacré à la spoliation du patrimoine de l’Etat, Le Potentiel souligne zussi que le problème ayant trait à la spoliation des biens immobiliers de l’Etat en RDC doit préoccuper au plus haut point les tenants du pouvoir de la 5ème législature. Par exemple, il est urgemment attendu du chef de l’Etat puisse prendre une décision devant mettre fin à la spoliation de l’immeuble de l’Etat abritant l’agence officielle d’information qu’est l’Agence congolaise de presse (ACP).

SADC

Voici la dépêche que le Bulletin de l’ACP publie qous le titre « Retour à Kinshasa du Président Félix Tshisekedi »

« Le Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo a regagné Kinshasa dimanche, au terme d’une mission officielle de 72 heures à Dar-es-Salaam, en Tanzanie où il a pris part, du 17 au 18 août, au 39ème sommet des Chefs d’État et de gouvernement des pays membres de la Communauté pour le développement de l’Afrique australe(SADC).

Ces assises qui se sont déroulées au Centre international des conférences Julius Nyerere de Dar-es-Salaam, en Tanzanie, avaient pour thème “Un environnement des affaires propices au développement industriel inclusif durable”.Dans son discours du haut de la tribune des assises de Dar-es-Salaam, le Chef de l’État a évoqué notamment l’insécurité récurrente dans l’Est de la RDC et la maladie à virus Ebola qui sévit dans la partie Est du pays.

S’agissant de l’insécurité qui sévit dans l’est de la RDC, il a tenu informée l’assemblée que la partie Est de la RDC est en proie à une insécurité persistante causée par des groupes armés d’origine interne et externe, dont le plus redoutable est celui des ADF-MTN qui a pour modus operandi commettre des actes terroristes conformes à leur appartenance à DAESH, ce qui, a-t-il dit, constitue une menace tant pour la RDC que pour la sous-région.

Aussi, le Président Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo a-t-il sollicité à cette occasion, en vertu de la charte constitutive de la SADC, la solidarité de tous les pays membres de cette organisation de développement sous régionale envers la RDC et son peuple, pour qu’à l’issue de la 39 ème session de la SADC, on puisse, à l’instar de la Brigade spéciale qui opère sous le commandement de la MONUSCO et qui avait mis en déroute le M23, prendre la ferme résolution de renforcer les FARDC, afin d’en finir définitivement avec tous ces mouvements qui sèment la mort et la désolation au sein des populations.

Il a, à cet effet, proposé de créer, à l’image de la Coalition mondiale contre le terrorisme, une coalition régionale pour éradiquer ce fléau.

Le Chef de l’État a également pris l’engagement solennel de n’épargner aucun effort pour que la RDC, avec le concours de la SADC, recouvre rapidement dans sa partie Est la paix et la stabilité pour lui permettre de contribuer efficacement au processus d’intégration sous régionale. En ce qui concerne la riposte contre l’épidémie de la maladie à virus Ebola qui sévit dans l’Est du pays, le Chef de l’État a fait savoir qu’il a mis en place, en mai dernier, une cellule technique qui travaille sous sa supervision, composée d’experts de renommée internationale parmi lesquels, le Dr. Muyembe qui a identifié le virus d’Ebola et dont les travaux de recherches ont conduit à la découverte du MAB 114, une molécule thérapeutique pour le traitement d’Ebola.

Ces travaux, a-t-il ajouté, seront récompensés le 30 août prochain par le gouvernement japonais. Parlant du thème de la session, il a fait savoir que la RDC demeure un maillon important dans le développement de la sous-région. « Je m’engage à poursuivre l’intégration régionale et la politique de proximité avec tous les pays de la SADC », a-t-il souligné, indiquant qu’il s’emploie à faire de l’intégration nationale une réalité par la mise en place d’infrastructures adéquates ayant pour vocation de s’interconnecter aux vastes programmes de la sous-région. « Mon vœu est de voir très rapidement toutes les populations de notre sous-région circuler librement de l’océan Indien à l’océan Atlantique, de Dar-Es-Salaam à Lobito, de Mombassa à Banana, de Aru à Durban », a-t-il soutenu.

Le sommet de la SADC, précise-t-on, est l’instance de prise des décisions de cette organisation sous régionale de développement.

Il s’agit d’un cadre d’orientation générale de la politique et de contrôle des fonctions de la SADC qui compte 16 membres dans la sous-région. »

Sous le titre : « Tshisekedi demande le renfort de la SADC », L’Avenir signale le retour à Kinshasa de Félix Tshisekedi après avoir pris part à la 39ème Sommet de la SADC à Dar-es-Salam. Au cours de son intervention pendant ces assises, le chef de l’Etat congolais a appelé à la formation d’une coalition régionale en vue de lutter contre des groupes armés d’origine interne et externe dont le plus redoutable est celui des ADF-MTN, qui a pour modus operandi commettre des actes terroristes et qui constitue une menace tant pour la RDC que pour la sous-région.

Le Potentiel titre «À Dar-es-Salaam, Tshisekedi appelle ses pairs de la SADC à faire bloc contre le terrorisme»

Le président Félix-Antoine Tshisekedi a interpellé ses pairs sur l’insécurité dans l’Est de la RDC avant de proposer la création d’une coalition de lutte contre le terrorisme dans son allocution au 39ème sommet de la Communauté de développement de l’Afrique Australe (SADC), renseigne Le Potentiel.

Pour ce quotidien, qui reprend le discours du chef de l’État, l’Est de la RDC « est en proie à une insécurité persistante causée par les groupes armés d’origine interne et externe ».

« Le plus redoutable de ces mouvements armés est celui des ADF-MTN dont le modus operandi consiste à commettre des actes terroristes, conforme à leur appartenance à DAESH ; ce qui constitue une menace tant pour la République Démocratique du Congo que pour la Sous-région », ajoute le président Tshisekedi.

Bien que consacré au développement et à l’intégration, ce forum a été l’occasion, pour le premier d’entre les Congolais, de lancer un appel solennel aux pays membres en vue de la mise en place urgente d’une coalition régionale de lutte contre les forces négatives présentes dans les parties Nord et Est de la RDC, afin de les mettre définitivement hors d’état de nuire, complète Le Phare.

Selon ce quotidien, tant que les forces négatives vont continuer à semer la mort et la désolation parmi les populations africaines, comme c’est le cas en territoire congolais, dans ses parties Nord et Est, l’intégration économique va demeurer un vœu pieux.

DigitalCongo relève que « Félix Tshisekedi se félicite de l’adoption de swahili comme 4ème langue des travaux »

« Le président de la République Félix Tshisekedi s’est félicité de l’adoption de swahili comme 4ème langue des travaux de la SADC.

Il l’a déclaré lors de son tout premier discours au 3ème Sommet de la SADC devant ses pairs et chefs des gouvernements de pays membres de cette organisation sous régionale.

Le chef de l’Etat congolais séjourne à Dar es-Salam depuis le vendredi 16 août. Il a été accueilli à sa descente d’avion par le ministre tanzanien des Transports et de communication, Isack A Kamwele. Quelques autorités congolaises l’attendaient au pied de l’avion, notamment le ministre en charge des Affaires étrangères Franck Mwe Di Malila, le Vice-Premier ministre et ministre de l’Intérieur ai Basile Olongo, le Chef d’état-major des FARDC Célestin Mbala.

Le 39ème Sommet de la SADC est placé sous le thème « Un environnement propice dû à un développement industriel inclusif et durable, à l’accroissement du commerce intra régional et à la création d’emplois ». La clôture interviendra le 18 août 2019 ».

Divers

Toujours en politique, Cas-info.ca s’intéresse à l’édit du gouverneur de Kinshasa, portant permutation et nomination des bourgmestres. A ce sujet, le média en linge indique que le conseiller de Félix Tshisekedi, Billy Kambale appelle le gouverneur Gentiny Ngobila à retirer l’arrêté nommant et permutant les bourgmestres.

« La décision du gouverneur de la province de Kinshasa est illégale, il faut la retirer. Notre principal allié en tant que dirigeants politiques, c’est la loi » a-t-il déclaré sur son compte Twitter, repris par le portail, qui rappelle que Ngobila a nommé et permuté quelques bourgmestres dans la ville. Ainsi, des jeunes du PPRD comme Jean Nsaka et Rossy Kiwa ont été nommés respectivement bourgmestres dans les communes de Kinshasa et Lemba.

Un arrêté que Me Freddy Bonzeke, directeur de cabinet du gouverneur de la ville de Kinshasa, a démenti le qualifiant de « faux document », écrit pour sa part 7sur7.cd.

Une justification qui a poussé le député provincial Gérard Mulumba dit Gecoco, à inviter le cabinet du gouverneur « à cesser avec le mensonge. »

« Nous avons vu nos frères du PPRD présenter ceux qui ont été nommés bourgmestres et ceux qui ont été permutés. Même dans mon propre parti, l’UDPS, notre secrétaire général Augustin Kabuya a présenté ceux qui ont été nommés bourgmestres et adjoints. Et aujourd’hui, on voit un document écrit par le directeur de cabinet de Gentiny Ngobila qui affirme que cet arrêté est un faux. Ne nous prenez pas pour moins intelligents, parce que nous ne le sommes pas. Arrêtez de nous mentir », s’est exprimé avec regret Gérard Mulumba, cité par 7sur7.cd.

Trente-et-un députés définitivement invalidés par la Cour constitutionnelle s’apprêtent aussi à se rendre ce lundi 19 août 2019 au Palais du Peuple à l’occasion de l’ouverture de la session extraordinaire, renchérit Actualité.cd

Dépêche.cd alerte sur un premier cas d’Ebola déclaré positif ce dimanche 18 août à Pinga dans le Territoire de Walikale, selon le rapport journalier de la situation épidémiologique de la Maladie à Virus Ebola publié par la coordination de la Riposte au Nord Kivu.

Depuis le début de l’épidémie, le cumul des cas est de 2.877, dont 2.783 confirmés et 94 probables. Au total, il y a eu 1.934 décès (1.840 confirmés et 94 probables) et 862 personnes guéries, écrit le média en ligne.

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 © CongoForum, le lundi 19 aoüt 2019

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