Les Belges plutôt fidèles à leur employeurl

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Cependant, les chiffres de la Direction Statistique du SPF Économie viennent contredire cette idée. Le pourcentage de salariés ayant changé de travail par rapport à l’année précédente a évolué ces dernières années de 4% en 1992 à 5,8% en 2006. Nous avons constaté, il est vrai, un pic de 7,2% pendant la période de forte conjoncture économique de début 2000. Le fait de changer ou non de travail est clairement à mettre en relation avec l’âge.
Ce sont les jeunes qui changent le plus souvent de travail. Dans cette catégorie, la mobilité est aussi la plus étroitement liée à la conjoncture.
La mobilité varie aussi selon le secteur dans lequel on est employé. En 2006, le ‘job hopping’ était populaire surtout chez les gens travaillant aujourd’hui dans les hôtels et restaurants, dans le bâtiment ou dans le secteur de l’immobilier, dans la location et dans les services aux entreprises. Souvent, mais pas toujours, celui qui change de travail reste actif dans le même secteur: 47% des salariés qui avaient changé d’emploi l’année précédente ont pris un nouvel emploi à l’intérieur du même secteur, et 53% des ‘job hoppers’ ont donc trouvé à s’employer dans un autre secteur. 
L’évolution du marché du travail de 1986 à 2006

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