Le bateau de Stanley (Apollo)
Le
musée souffre clairement d'un manque criant de fonds. D'ailleurs, en
fait de musée, il n'y a pas de salle d'exposition, mais les guides nous
font quand même visiter les réserves : d'immenses salles aux étagères
surchargées de masques, statues, reliquaires, lances, épées, costumes
de cérémonie, objets de culte etc (mais aussi les fauteuils en peau de
léopard du Maréchal ou son buste en bronze). C'est très impressionant,
vieillot, et envoûtant.
musée souffre clairement d'un manque criant de fonds. D'ailleurs, en
fait de musée, il n'y a pas de salle d'exposition, mais les guides nous
font quand même visiter les réserves : d'immenses salles aux étagères
surchargées de masques, statues, reliquaires, lances, épées, costumes
de cérémonie, objets de culte etc (mais aussi les fauteuils en peau de
léopard du Maréchal ou son buste en bronze). C'est très impressionant,
vieillot, et envoûtant.
Malheureusement, les photos sont interdites à l'intérieur.
A
l'extérieur, en revanche, on peut prendre autant de photos qu'on veut
(ou presque : il ne faut pas photographier en direction de la Gombé où
se situe le palais présidentiel).
Et
dehors, outre des fresques contemporaines, on trouve quelques vieilles
statues coloniales belges : la statue équestre de Léopold II, celle de
la "Force Publique", celle, par terre, d'un roi belge dont j'ai oublié
le nom et le numéro (Albert II, je crois) et enfin la statue écroulée
de Stanley, le fameux Boula-Matari, l'explorateur le moins sympathique
du monde. D'ailleurs, il a un peu une sale gueule Stanley, avec sa tête
à la Tartarin.
dehors, outre des fresques contemporaines, on trouve quelques vieilles
statues coloniales belges : la statue équestre de Léopold II, celle de
la "Force Publique", celle, par terre, d'un roi belge dont j'ai oublié
le nom et le numéro (Albert II, je crois) et enfin la statue écroulée
de Stanley, le fameux Boula-Matari, l'explorateur le moins sympathique
du monde. D'ailleurs, il a un peu une sale gueule Stanley, avec sa tête
à la Tartarin.
Un
peu plus loin, on peut découvrir son navire en fer, tout rouillé, avec
lequel il a remonté le fleuve, lors de l'un de ses voyages. La
barquasse ne paie pas de mine mais en même temps impressione et renvoie
inévitablement à tout un imaginaire conradien (celui de Heart of
Darkness et encore plus de An Outpost of progress".