29.04.11 L'Observateur – Ministère des Transports et voies de communication
Dans le mot de circonstance qu'elle a prononcé à cette occasion, mme Laure Kawanga a remercié le gouvernement de la République française pour la mise e, place de ce projet d'assistance dans un domaine aussi sensible que celui de la sûreté de l'aviation civile pour lequel l'OACi accorde une attention particulière afin de palier aux carences relevées lors des audits UCAP diligentés auprès des Etats membres.
Pour mme la ministre, pour atteindre les résultats escomptés, l'homme étant placé au centre de tout, joue un rôle primordial d'où la nécessité de lui assurer une formation solide.
Revenant sur un des volets du protocole, mme la ministre a promu la collaboration pleine et entière des autorités congolaises à respecter scrupuleusement les clauses du protocole.
Du contenu du protocole
Le protocole signé entre les parties congolaise et française est un document de 5 pages. Dans celui-ci les parties signataires s'engagent à collaborer à la mise en œuvre d'un projet d'assistance en matière de sécurité de l'aviation civile dans les domaines d'élaboration, d'adoption de mise en application des normes et pratiques prescrites par l'Organisation de l'aviation civile internationale, de la formation des personnels de sûreté, du développement des programmes de sûreté et de gestion des crises, de la mise en œuvre d'un système de supervision et de contrôle de la qualité de la sûreté.
Dans les objectifs du protocole, il st dit que l'objectif est de mettre en place un ^man d'action de renforcement des capacités en matière de sûreté de l'aviation civile en République démocratique du Congo.
Pour y parvenir nombre d'aspects importants sont pris en compte, l'intervention de l'Organisation de l'aviation civile internationale " OACI ", les engagements de la coopération française et des partenaires (ici on reprend les réalisation prévues, au titre des années 2011, 2012 et 2013.
Beaucoup d'autres aspects ont été abordés dont les engagements des autorités compétentes de la RD Congo, la mise en œuvre et pour conclure par la durée du protocole qui sera de trois ans.
Philippe Mbayi Wete