Analyse et réflexion

21 09 16 – Le régime de Kabila a tué. Il pourrait encore tuer

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Ne nous leurrons pas. Dans un monde où ''l'argent a phagocyté le processus politique'', les Kabila et les Kagame trouveront toujours des alliés de leur processus d'extermination et de balkanisation du Congo-Kinshasa. La lutte pour les intérêts congolais devrait prendre en compte ce changement de paradigme au niveau des Etats nommés ''grandes puissances''. Ce que Guillaume Debré a remarqué après plusieurs années passées aux USA n'est pas une nouveauté. Cela date de l'après deuxième guerre mondiale.La lutte contre la démocratie populaire est une constante de la politique américaine. Croire que les USA vont soutenir une démarche de démocratie souveraine au Congo-Kinshasa est une illusion. Les conseilleurs de Joseph Kabila le savent. Ils savent que face à l'argent et aux intérêts bassement matérialistes, la vie humaine n'a pas de prix.

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15 09 16 Ils ont les mêmes coachs. Ils finiront ensemble dans ''un parti de la soumission''/

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par Mbelu Babanya Kabudi
Génération Lumumba 1961
Membre du Corps de Gardiens de la Mémoire Collective Congolaise

« L'outil le plus puissant que détienne l'oppresseur est la pensée de l'opprimé » S. BIKO

Avoir comme coachs communs le NDI et la Fondation Buffet et chercher à mettre les masses populaires dans la rue peut être une réponse à leur instinct tanatophile. C'est leur permettre de voir les proys qu'ils soutiennent dans leur guerre de basse intensité (depuis 1990) exterminer une partie de la population congolaise qu'ils considèrent comme ''inutile'' et ''inutilisable''. Ils ont du mépris raciste à son endroit. Ils ont peur de sa croissance en nombre. Il est quand même curieux que nos compatriotes coachés ainsi que leurs partis politiques et ONG ne puissent pas se poser la question de savoir pourquoi ces agences (NDI, NED, USAID, OPEN SOCIETY) et les différentes fondations les subventionnant n'ont pas, jusqu'à ce jour, appeler à la création d'un Tribunal Pénal pour le Congo.

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15 09 16 – Ils ont les mêmes coachs. Ils finiront ensemble dans ''un parti de la soumission''

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Avoir comme coachs communs le NDI et la Fondation Buffet et chercher à mettre les masses populaires dans la rue peut être une réponse à leur instinct tanatophile. C'est leur permettre de voir les proxys qu'ils soutiennent dans leur guerre de basse intensité (depuis 1990) exterminer une partie de la population congolaise qu'ils considèrent comme ''inutile'' et ''inutilisable''. Ils ont du mépris raciste à son endroit. Ils ont peur de sa croissance en nombre. Il est quand même curieux que nos compatriotes coachés ainsi que leurs partis politiques et ONG ne puissent pas se poser la question de savoir pourquoi ces agences (NDI, NED, USAID, OPEN SOCIETY) et les différentes fondations les subventionnant n'ont pas, jusqu'à ce jour, appeler à la création d'un Tribunal Pénal pour le Congo.

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13 09 16 – Pour quelle raison Monsieur Vital Kamerhe a-t-il choisi de se brûler dans un dialogue non inclusif ? Par M. Fwele Diangitukwa, chercheur, politologue, écrivain, auteur de nombreuses publications

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En Science politique, la constance est une vertu cardinale. Ceux qui s’engagent dans ce domaine très exigeant sont appelés à être rationnels et à s’inscrire non pas dans une rationalité absolue – car elle est difficile voire impossible, faute de moyens matériels et du temps, – mais dans une rationalité limitée (voir théorie de Herbert A. Simon). En politique, la réflexion et le choix précèdent l’engagement et lorsque l’acteur a choisi son camp, il doit rester cohérent et constant, après avoir mûrement réfléchi.

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06 09 16 – Les rencontres informelles, les questions du fichier et de l'argent et le dialogue

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De plus en plus, des langues se délient et parlent des rencontres informelles ayant eu lieu entre le camp dit de l'opposition et celui dit de la Majorité Présidentielle. A entendre les uns et les autres, il semble que les questions supposées cruciales, c'est-à-dire celle du fichier électoral à actualiser et celle de l'argent à mobiliser, n'ont pas été au cœur de ces échanges. Non. Ces rencontres informelles ont planché sur ''la gestion du pouvoir-os'' à l'issue de ce que les deux camps présentent comme étant ''la fin du deuxième mandat de Joseph Kabila''.

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