Analyses

Cacao : les vraies raisons de la montée du prix sur le marché mondial (L'Intelligent, CI)

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La montée du prix sur le marché mondial ne serait pas liée à l’attentat manqué contre le Premier ministre ivoirien à Bouaké, le 29 juin 2007 mais plutôt par une baisse de la production nationale de fève de cacao. Explications. La pénurie de cacao sur le marché mondial est de plus en plus constatée. La Côte d’Ivoire, premier producteur mondial connaît une baisse considérable de sa production de 11%. Même si elle garde toujours son rang de premier producteur mondial. Le président de la Bourse du café et du cacao, Lucien Tapé Doh a reconnu sur les antennes de la radio nationale, le samedi 7 juillet 2007 que la Côte d’Ivoire perd néanmoins une quantité considérable de tonnes. Ce qui pourrait avoir, justifie-t-il, des conséquences sur les indicateurs de l’économie nationale.

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03.07.07 Conjoncture économique au premier semestre 2007 : de « 1+4 » inflationniste au « Yandi kaka » désinflationniste ( Le Potentiel)

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Le mois de mai 2007 vient de se clôturer avec un excédent cumulé de l’ordre de 38.980,2 millions de francs congolais, soit environ 79,56 millions de dollars. Cet excédent permet de résorber le surplus monétaire né des déficits enregistré en janvier et février derniers. Sommes-nous en train de vouloir assisté à une gestion macroéconomique plus orthodoxe de l’économie et de la monnaie ?

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Conjoncture économique en février 2007 : réussir à tout prix les mesures de redressement macroéconomique

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L’économie congolaise s’ouvre au début de cette nouvelle année sur une conjoncture préoccupante. L’année 2006 s’étant clôturée sur une note sombre au plan de la conduite de la politique budgétaire avec des déficits budgétaires cumulés de l’ordre de 32.777,1 millions de francs congolais et ceux du compte d’exploitation de la banque centrale de l’ordre de 20.502 millions de francs congolais, soit un déficit du secteur public évalué à 53.279,1 millions, entraînant une dépréciation de la monnaie congolaise de 14,33% par rapport au dollar américain et une inflation de 18,2% à fin décembre 2006.

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Les interventions des institutions de Bretton Woods en Afrique : contraintes et limites (CRISPIN MALINGUMU SYOSYO)

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Sous l’égide du FMI et de la Banque mondiale, le programme d’ajustement structurel, dans une version largement monétariste, retrouve une domination sans partage. Le développement cède de plus en plus la place au « consensus de Washington « qui prône la triptyque austérité-privatisations-libéralisation. Le développement dans ce cadre n’est plus le but recherché. Il devient le fruit promis d’une croissance spontanée transmise par le marché mondial et une spécialisation fondée sur les avantages comparatifs. Force est de constater que les politiques néo-libérales se sont non seulement révélées incapables de résorber les déséquilibres économiques de ces pays, mais qu’elles ont aussi précipité une grande partie des pays soumis à l’ajustement structurel dans une véritable spirale perverse de développement du sous-développement.

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