Analyses
Estimationd'un modèle d'équations simultanées pour la RDC par Christian OTCHIA SAMEN
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Lire la suiteLes Effets de la Dette Extérieure sur La Croissance et les investissements dans les PPTE africains: Analyse par la Méthode des Moments Généralisés (GMM) Par KONSO BOLA Alain
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Lire la suiteBiocarburant : la RDC doit faire le choix entre le palmier elaeis et le jatropha curcas (Le Potentiel)
Biodiesel : la RD Congo est potentiellement capable de devenir lun des plus grands producteurs du monde. Mais, il faudrait choisir entre le palmier elaeis et le jatropha curcas. Le premier détruit la forêt, le second valorise la savane et les écosystèmes marginaux.
Lire la suiteCacao : les vraies raisons de la montée du prix sur le marché mondial (L'Intelligent, CI)
La montée du prix sur le marché mondial ne serait pas liée à lattentat manqué contre le Premier ministre ivoirien à Bouaké, le 29 juin 2007 mais plutôt par une baisse de la production nationale de fève de cacao. Explications. La pénurie de cacao sur le marché mondial est de plus en plus constatée. La Côte dIvoire, premier producteur mondial connaît une baisse considérable de sa production de 11%. Même si elle garde toujours son rang de premier producteur mondial. Le président de la Bourse du café et du cacao, Lucien Tapé Doh a reconnu sur les antennes de la radio nationale, le samedi 7 juillet 2007 que la Côte dIvoire perd néanmoins une quantité considérable de tonnes. Ce qui pourrait avoir, justifie-t-il, des conséquences sur les indicateurs de léconomie nationale.
Lire la suite05.07.07 Bio-Diesel : La RD Congo est potentiellement capable de dvenir l'un des plus grands producteurs du monde. (La Conscience)
Il y a moins d'un mois, certains journaux de Kinshasa ont fait à leur une des gros titres sur le retour des investisseurs étrangers dans l'industrie de l'huile de palme. Les commentaires étaient dithyrambiques. A croire que ce retour est une très bonne nouvelle pour la République Démocratique du Congo.
Lire la suite03.07.07 Conjoncture économique au premier semestre 2007 : de « 1+4 » inflationniste au « Yandi kaka » désinflationniste ( Le Potentiel)
Le mois de mai 2007 vient de se clôturer avec un excédent cumulé de lordre de 38.980,2 millions de francs congolais, soit environ 79,56 millions de dollars. Cet excédent permet de résorber le surplus monétaire né des déficits enregistré en janvier et février derniers. Sommes-nous en train de vouloir assisté à une gestion macroéconomique plus orthodoxe de léconomie et de la monnaie ?
Lire la suite12.06.07 Umicore (UMHK) à la veille d'acquérir Delphi (L'Echo)
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Lire la suite25.04.07 Le marché de l'uranium est en pleine ébullition (L'Echo)
La hausse de l'uranium a de quoi donner le tournis aux investisseurs. Avec un bond de plus de 1.000% en six ans, l'appréciation des cours de l'uranium reflète pleinement le déficit de l'offre auquel est confronté le marché.
Lire la suiteConjoncture économique en février 2007 : réussir à tout prix les mesures de redressement macroéconomique
Léconomie congolaise souvre au début de cette nouvelle année sur une conjoncture préoccupante. Lannée 2006 sétant clôturée sur une note sombre au plan de la conduite de la politique budgétaire avec des déficits budgétaires cumulés de lordre de 32.777,1 millions de francs congolais et ceux du compte dexploitation de la banque centrale de lordre de 20.502 millions de francs congolais, soit un déficit du secteur public évalué à 53.279,1 millions, entraînant une dépréciation de la monnaie congolaise de 14,33% par rapport au dollar américain et une inflation de 18,2% à fin décembre 2006.
Lire la suiteLes interventions des institutions de Bretton Woods en Afrique : contraintes et limites (CRISPIN MALINGUMU SYOSYO)
Sous légide du FMI et de la Banque mondiale, le programme dajustement structurel, dans une version largement monétariste, retrouve une domination sans partage. Le développement cède de plus en plus la place au « consensus de Washington « qui prône la triptyque austérité-privatisations-libéralisation. Le développement dans ce cadre nest plus le but recherché. Il devient le fruit promis dune croissance spontanée transmise par le marché mondial et une spécialisation fondée sur les avantages comparatifs. Force est de constater que les politiques néo-libérales se sont non seulement révélées incapables de résorber les déséquilibres économiques de ces pays, mais quelles ont aussi précipité une grande partie des pays soumis à lajustement structurel dans une véritable spirale perverse de développement du sous-développement.
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