Economie

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La Banque mondiale vient de mettre rendre publique une étude sur la situation de l’assainissement dans un nombre de pays africains. C’est un rapport publié par le programme Eau et assainissement (PEA) de la Banque mondiale. Cette étude fait ressortir les coûts ignorés liés à l’absence ou à la défaillance des infrastructures d’assainissement dans 18 pays africains. Les pays considérés dans cette étude sont les suivants : Bénin, Burkina Faso, Ghana, Kenya, Libéria, Madagascar, Mauritanie, Mozambique, Niger, Nigeria, Ouganda, République centrafricaine, République démocratique du Congo, République du Congo, Rwanda, Tanzanie, Tchad et Zambie.Les coûts en question représentent entre une fourchette comprise entre 1 et 2,5 % du PIB selon les pays. « L’absence d’infrastructures d’assainissement coûte près de 5,5 milliards de dollars par an à dix-huit pays africains ». La situation de la RDC est particulièrement mise en exergue dans un communiqué de presse.

Redynamiser le secteur de transport est une exigence et une urgence pour relancer l'économie de la RDC. C'est le défi que veut relever le Projet de Transport Multimodal (PTM). Ainsi, se justifient nombre d'avis d'appel d'offres lancés depuis le début du projet. Dernièrement, il y a eu encore un avis d'appel d'offres international lancé, afin d'acquérir 35 locomotives diesel et électriques pour le compte de la Société Nationale de chemin de fer du Congo (SNCC) et de la Société Congolaise des transports et Ports (SCPT) ex ONATRA. Cet avis d'appel d'offres vient ainsi dans la foulée de l'avis général de passation des marchés publié par le PTM un certain 3 mai 2011.

La construction vient d’atteindre la vitesse de croisière, selon Mark Bristow
La transparence et l’exigence de rendre compte font partie de la culture d’entreprise de Kibali Golmines SPRL. La tradition consistant à rencontrer la presse chaque trimestre a été respectée par cette société minière. En effet, pour le premier trimestre de 2012, le président Mark Bristow était face à la presse kinoise et des parlementaires de la contrée ; pour rendre compte de l’évolution du projet d’érection d’une mine d’or à Kibali au Nord Est de la RDC, dans la province Orientale. Une mine moderne et de classe mondiale est en train de sortir des terres. Ce face-à-face a eu lieu ce lundi 16 au salon Virunga de l’Hôtel Memling de Kinshasa/Gombe. Il ressort de cet échange que la construction de la mine vient d’atteindre la vitesse de croisière. « La mine d’or de Kibali commence à prendre forme avec l’effort de construction qui prend forme ». Le nombre de familles relogées est de 717. Ce nombre va aller croissant car 50 maisons sont construites chaque semaine.

" Résilience d'un Géant Africain: Accélérer la croissance et promouvoir l'emploi en RDC ". C'est le titre d'un livre qui documente les développements économiques en RDC. La Banque mondiale lance cet ouvrage ce jeudi 12 avril au Centre d'événement Roméo Golf à Kinshasa/Gombe. Au fait, ce livre comporte trois volumes sur : le contexte et la situation macroéconomique, les études sectorielles et les sujets transversaux. Le livre découle du Mémorandum Economique pour la RDC que la Banque a présenté solennellement à Kinshasa en juin 2011. Ce Mémorandum avait examiné les obstacles à une croissance économique plus forte en RDC.

Dans le Projet de Transport Multimodal (PTM) financé par la Banque mondiale, à travers son guichet concessionnel réservé aux pays à faible revenu l'IDA, plus de 2 millions de dollars US sont affectés pour la facilitation du commerce international en RDC. Et pour cause ? Des dysfonctionnements et pesanteurs gênent les opérations du commerce extérieur sur notre territoire. Mais, cette facilitation sera éclairée par les résultats d'une enquête portant sur le trafic de camions sur les corridors Ouest : Matadi-Kinshasa et Sud, Tenke-Kasumbalesa. Cette enquête financée par le Fonds de Facilitation du Commerce (Trade Facilitation Facility, TFF) sera bientôt lancée dans le cadre de l'exécution du PTM.

La Banque centrale du Congo a fini par baisser son taux d’intérêt directeur, comme le souhaitait d’ailleurs le ministère des Finances. L’institut d’émission motive sa décision par la consolidation du cadre macroéconomique. Si cette stabilité se raffermit comme c’est le cas actuellement, ce taux pourrait baisser davantage, a promis la banque. Ce qui devait, à terme, libérer l’épargne nationale et impacter à la hausse le taux de bancarisation de la RDC.

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