Economie

Dans le cadre du renforcement des capacités des journalistes économiques, quelques journalistes de Kinshasa ont eu un échange le vendredi le 23 mars avec le camerounais Célestin Monga, expert de la Banque mondiale. Celui-ci occupe le poste de conseiller directeur responsable du programme de transformation structurelle au siège de cette institution. Cet échange a eu lieu au bureau de la Banque mondiale à Kinshasa, et était suivi par visioconférence par des journalistes du Congo/Brazzaville. De passage à Kinshasa, Célestin Monga a été convié à aborder un thème en rapport avec son travail : " La transformation structurelle des économies africaines ", à l'intention des journalistes de deux Congo.

Après le lancement officiel de Coca cola et Fanta en bouteille plastique (PET), intervenu en fin décembre 2011, Bralima vient d’enrichir sa gamme incomparable de boissons gazeuses avec deux autres produits différemment rafraîchissants. Il s’agit de Fayrouz pomme et Fayrouz ananas, en vente depuis le samedi 24 mars 2012. Mais ce n’est pas la fin des innovations.

La fiche technique de ces nouveaux produits renseigne qu’il s’agit ici de deux boissons idéales, sans alcool, sans colorant et sans conservateur, aux arômes naturels extraits des fruits exotiques à savoir l’ananas et la pomme rouge. Les deux goûts sont donc bien trouvés, distincts de loin par leurs bouchons rouge (pomme) et jaune (ananas). De quoi captiver les consommateurs sur un marché de plus en plus exigeants.

Le transfert des fonds par des Africains de la diaspora ne posera plus de problèmes. Selon des statistiques, il y aurait 444.000 Africains vivant en RDC, effectivement recensés en 2010. Ce potentiel est la cible de la banque panafricaine. Ils sont dans les représentations diplomatiques, les institutions internationales présentes en RDC comme la Monusco, l’Unicef, le PNUD, … Ces Africains travaillent également dans des multinationales opérant en RDC dans presque tous les secteurs d’activités. Ils sont aussi dans le commerce de tous genres. Bref, ils disposent d’un revenu qu’ils voudraient partager avec leurs pays respectifs. Vivant hors de leurs pays d’origine, ces Africains peuvent, de manière sécurisée, finaliser des projets dans leurs pays d’origine comme la construction d’une maison, …