Economie

Le Commissaire de district de l’Ituri ad interim a ordonné il y a quelques jours la fermeture de la mine souterraine d’Adidi à Mongbwalu. Une décision tombée à point nommé d’autant plus qu’il planait sur la population le risque d’une catastrophe humaine pouvant résulter d’un éboulement inévitable de la mine.

Mardi 13 novembre, 21h29 – PARIS (Reuters) – Le marché des "bioproduits" et des "bioénergies" devrait connaître une croissance importante d'ici à 2030 mais n'a pas vocation à remplacer les produits d'origine fossile, a estimé mardi le coordonateur interministériel pour la valorisation de la biomasse.

Par Lucien K.Tshibambe
Les statistiques officielles, en matière d’épargne, révèlent que la plupart des Congolais n’ont pas la culture de l’épargne, qui est pourtant le facteur de développement économique. Ainsi, pour le gouvernement congolais, il faut mobiliser la population et lui expliquer que sans l’épargne, il n’y a pas de crédit; et sans crédit, il n’y a pas de développement. C’est dans ce cadre qu’est organisé du 5 au 10 novembre 2007 au Grand Hôtel de Kinshasa la «Semaine nationale de l’épargne».

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Alors que démarrent les assemblées annuelles du FMI et de la Banque mondiale à Washington, une évaluation interne implacable dénonce les politiques menées par la Banque dans le secteur agricole des pays d'Afrique subsaharienne. Compte rendu.

Alors que se discute à Washington, et ce, en, marge des assemblées annuelles de la Banque mondiale et du Fonds monétaire, la conclusion d’un deuxième Programme économique du gouvernement appuyé par le FMI, il nous est paru important de reprendre cette analyse du professeur Mukoko Samba de l’Université de Kinshasa, parue dans un numéro de la revue « Notes de conjoncture ». Cette analyse demeure d’actualité, malgré l’usure du temps. En effet, elle a l’avantage de retracer les grandes étapes de l’économie congolaise et les défis à relever pour une croissance soutenue. Ce qui cadre bien évidemment avec les matières en cours de discussion avec les services du FMI.

Par AMEDEE MWARABU KIBOKO

Les prévisions du Pnud sont irrévocables : la RDC, comme plusieurs pays de l’Afrique subsaharienne, ne pourra pas atteindre les objectifs du millénaire pour le développement (OMD) d’ici 2015. Que doit-elle faire pour contrarier ces prévisions pour le moins décourageantes ?