Interviews

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(*) Président national du Parti congolais de progrès intégral (PCPI)

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C’est ce qu’on appelle la division du travail. Pendant que le président sortant «Joseph Kabila» clamait, mercredi 14 septembre, son autosatisfaction sur son action à la tête de l’Etat – devant sa famille politique -, le Premier ministre Adolphe Muzito, lui, accordait une interview à l’hebdomadaire parisien «Jeune Afrique» n°2645 daté 18-24 septembre 2011. Muzito s’étonne de voir la population congolaise exiger des résultats juste au moment où le chef d’Etat sortant commence «à mettre en valeur» les potentialités du pays. Pour lui, il va donc de soi que le «Joseph Kabila» et lui bénéficient d’un nouveau bail. Il espère que la mouvance présidentielle pourrait arracher 200 sièges de députés. Et pourtant. Tout au long de cet entretien, le «Premier» paraît dépassé par l’ampleur des problèmes à résoudre. Il s’est contenté de diagnostiquer les difficultés sans proposer des pistes de solution.

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