Communiqués

Etat des lieux et rappel de l'ultimatum posé d'ici fin Avril.

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Le Conseil de sécurité

1. Demande de nouveau à toutes les parties congolaises d’œuvrer pour préserver les avancées encore fragiles réalisées sur la voie de la paix et de la stabilité en République démocratique du Congo, souligne les responsabilités qui incombent à tous les acteurs politiques congolais, notamment celles de surmonter leurs divergences pour parvenir à un consensus et de promouvoir les intérêts et le bien-être de la population avant toute autre considération, et engage fermement toutes les parties prenantes, en particulier tous les signataires de l’Accord du 31 décembre 2016, à continuer de respecter l’Accord et de veiller activement à ce qu’il soit intégralement appliqué, et à œuvrer à la tenue des élections transparentes, crédibles et ouvertes dans les délais annoncés par la Commission électorale nationale indépendante, notamment en s’abstenant de recourir à la provocation, y compris à la violence et aux discours conflictuels, en faisant preuve de la plus grande retenue dans leurs actes et leurs déclarations et en réglant leurs différends par des moyens pacifiques ;

DISCOURS DE FELIX TSHISEKEDI A L'ISSUE DE SON ELECTION A LA PRESIDENCE DE L’UNION POUR LA DEMOCRATIE ET LE PROGRES SOCIAL, UDPS.

d'après Jeune Afrique

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Ce mardi 20 mars 2018, s'est tenue à l'Immeuble du Gouvernement de Kinshasa-Gombe la 9ème Réunion Extraordinaire du Conseil des Ministres sous la présidence du Président de la République, Chef de l'Etat, Son Excellence Joseph KABILA KABANGE.

Dans une lettre au SG de l’ONU, le CLC annonce qu'il rereprendra les marches fin avril en cas de non décrispation politique. Le Comité Laïc de Coordination vient de prendre à témoin le
Secrétaire général de l’ONU et, à travers lui, toute la communauté internationale, au sujet de sa décision de suspension toutes ses actions jusqu’à la fin du mois d’avril 2018. L’unique préalable posé pour cette trêve est la mise en oeuvre effective, par le pouvoir en place, de toutes les mesures de décrispation politique consignées dans l’Accord du 31 décembre 2016.
Les Laïcs Catholiques attirent également son attention sur la multiplication, par les hommes au pouvoir, des foyers de conflits aux quatre coins du pays, dans le but inavoué de torpiller le processus électoral. D’ici fin avril, des signaux clairs du changement sont attendus. Sinon, c’est le retour aux marches.

La ville de Lubumbashi possède un des joyaux du pays qui a figuré sur des billets de banque, nous écrit Marcel Yambili. "L’intégrité de ce site est menacé par des convoitises mercantiles".

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